« Ne pensez pas au lendemain ; c’est votre droit le plus absolu. Mais ne vous plaignez pas si, quand il survient, vous êtes pris au dépourvu. »
John Brunner
Sur l’onde de choc

Le nombre d’humains a explosé ces cent dernières années. En un siècle, notre planète a vu ses habitants quadruplés. Toutefois, depuis l’introduction de la pilule contraceptive, la population décroit, lorsqu’elle a les moyens de se la procurer. Si ce n’était pas pour l’immigration, l’Europe se viderait progressivement. À travers les millénaires traversés par notre espèce, nous avons ancré, au plus profond de notre subconscient, que l’augmentation du nombre d’individus demeure nécessaire à notre survie, jusqu’au dérèglement climatique.

Pour la première fois, nous savons que le mieux est l’ennemi du bien. Nous allons au-devant de graves bouleversements, d’altérations drastiques de notre environnement, qui mèneront, sans le moindre doute, à des guerres, des famines et des tragédies en plus grand nombre que nous le désirons. Toutefois, comme à chaque virée des quatre cavaliers, notre résilience aura raison de nous. Viendra une époque où nous ne serons plus qu’un ou deux milliards. Malgré ce que hurlent nos conditionnements ancestraux, ce ne sera pas une mauvaise chose. Notre survie, en tant qu’espèce, est assurée. Nous nous devons de nous concentrer sur notre qualité de vie. Il nous faut maintenir et améliorer celle-ci alors que nos ressources iront en diminuant.

Les changements sur notre mode de vie, notre culture, nos relations seront innombrables. Pour cette édition de Vernier Street Art, l’artiste tchéco-suisse Marion Jiranek a décidé de se concentrer sur la pointe la plus visible d’un tel iceberg : notre environnement bâti. À quoi ressemblera-t-il dans ce futur pas si improbable ? Que deviendront nos arcologies érigées à la fin du XXe siècle pour loger rapidement et à bon marché les enfants du baby-boom ?

« Ne pensez pas au lendemain ; c’est votre droit le plus absolu. Mais ne vous plaignez pas si, quand il survient, vous êtes pris au dépourvu. »
John Brunner
Sur l’onde de choc

Le nombre d’humains a explosé ces cent dernières années. En un siècle, notre planète a vu ses habitants quadruplés. Toutefois, depuis l’introduction de la pilule contraceptive, la population décroit, lorsqu’elle a les moyens de se la procurer. Si ce n’était pas pour l’immigration, l’Europe se viderait progressivement. À travers les millénaires traversés par notre espèce, nous avons ancré, au plus profond de notre subconscient, que l’augmentation du nombre d’individus demeure nécessaire à notre survie, jusqu’au dérèglement climatique.

Pour la première fois, nous savons que le mieux est l’ennemi du bien. Nous allons au-devant de graves bouleversements, d’altérations drastiques de notre environnement, qui mèneront, sans le moindre doute, à des guerres, des famines et des tragédies en plus grand nombre que nous le désirons. Toutefois, comme à chaque virée des quatre cavaliers, notre résilience aura raison de nous. Viendra une époque où nous ne serons plus qu’un ou deux milliards. Malgré ce que hurlent nos conditionnements ancestraux, ce ne sera pas une mauvaise chose. Notre survie, en tant qu’espèce, est assurée. Nous nous devons de nous concentrer sur notre qualité de vie. Il nous faut maintenir et améliorer celle-ci alors que nos ressources iront en diminuant.

Les changements sur notre mode de vie, notre culture, nos relations seront innombrables. Pour cette édition de Vernier Street Art, l’artiste tchéco-suisse Marion Jiranek a décidé de se concentrer sur la pointe la plus visible d’un tel iceberg : notre environnement bâti. À quoi ressemblera-t-il dans ce futur pas si improbable ? Que deviendront nos arcologies érigées à la fin du XXe siècle pour loger rapidement et à bon marché les enfants du baby-boom ?

Le nombre d’humains a explosé ces cent dernières années. En un siècle, notre planète a vu ses habitants quadruplés. Toutefois, depuis l’introduction de la pilule contraceptive, la population décroit, lorsqu’elle a les moyens de se la procurer. Si ce n’était pas pour l’immigration, l’Europe se viderait progressivement. À travers les millénaires traversés par notre espèce, nous avons ancré, au plus profond de notre subconscient, que l’augmentation du nombre d’individus demeure nécessaire à notre survie, jusqu’au dérèglement climatique.

Pour la première fois, nous savons que le mieux est l’ennemi du bien. Nous allons au-devant de graves bouleversements, d’altérations drastiques de notre environnement, qui mèneront, sans le moindre doute, à des guerres, des famines et des tragédies en plus grand nombre que nous le désirons. Toutefois, comme à chaque virée des quatre cavaliers, notre résilience aura raison de nous. Viendra une époque où nous ne serons plus qu’un ou deux milliards. Malgré ce que hurlent nos conditionnements ancestraux, ce ne sera pas une mauvaise chose. Notre survie, en tant qu’espèce, est assurée. Nous nous devons de nous concentrer sur notre qualité de vie. Il nous faut maintenir et améliorer celle-ci alors que nos ressources iront en diminuant.

Les changements sur notre mode de vie, notre culture, nos relations seront innombrables. Pour cette édition de Vernier Street Art, l’artiste tchéco-suisse Marion Jiranek a décidé de se concentrer sur la pointe la plus visible d’un tel iceberg : notre environnement bâti. À quoi ressemblera-t-il dans ce futur pas si improbable ? Que deviendront nos arcologies érigées à la fin du XXe siècle pour loger rapidement et à bon marché les enfants du baby-boom ?